Cancer@Work : labellisation 3 étoiles en Val de France
La Banque Populaire Val de France est la première banque française à obtenir la 3e étoile du label Cancer@Work. Celui-ci mesure et valorise l’engagement de la banque pour concilier maladie et travail.
Avec les Banques Populaires Alsace Lorraine Champagne, Auvergne Rhône-Alpes, Grand Ouest, Méditerranée, Bred et Crédit Coopératif, la Banque Populaire Val de France est membre du réseau de 80 entreprises regroupant plus de 1,5 million de salariés engagés pour améliorer les conditions de travail des collaborateurs faisant face à un cancer.
Elle décroche cette année le 3e niveau du label venant souligner l’implication de la banque et des services ressources humaines (RH) dans le partage d’expériences auprès d’autres parties prenantes.
L’engagement se traduit par une formation spécifique des RH, un suivi régulier des personnes malades, la mise en place de groupes d’échanges, la création d’une « check-list du parfait manager » destinée à accompagner et soutenir au mieux les collaborateurs, 5 jours de congés payés supplémentaires pour les soins, ou encore des appels ou sms à l’intention des collaborateurs en arrêt de longue durée et l’envoi d’un bouquet de fleurs adressé aux malades.
Autant d’organisation et d’attentions toutes particulières qui peuvent faire la différence dans un combat contre la maladie et qui s’inscrit dans le cadre d’une politique RH globale et inclusive.
Cancer et milieu professionnel : un enjeu sociétal
L’engagement d’inclusion et de renforcement du lien maladie-vie professionnelle se traduit également à l’extérieur de la banque, notamment par des conférences sur le sujet, comme à l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) de Tours à la rentrée dernière où l’équipe des ressources humaines de la banque est intervenue auprès des étudiants de Master 2 RH.
Tout cela fait partie intégrante de la responsabilité des employeurs et de l’enjeu de la santé au travail. En effet, le maintien en activité des collaborateurs malades améliore non seulement la qualité de vie de ces derniers, en maintenant les liens sociaux, mais renforce aussi la cohésion et l’engagement des équipes (et réduirait même les coûts du cancer pour la société).
Le cancer et les maladies chroniques ne sont plus seulement une question de santé, mais bien un enjeu de société qui touche aussi bien le quotidien que la vie professionnelle.