Un nouveau partenariat avec la Chaire européenne de l’immatériel

Avec 41% des entreprises et 1/3 des créateurs d’entreprise clients Banque Populaire, notre réseau de banques coopératives a un rôle quasi systémique au sein des processus de création d’entreprises et du développement de leurs écosystèmes. Par son approche affinitaire, la Banque Populaire est en relation étroite avec l’ensemble des réseaux de la création d’entreprises classiques. Mais au moment où émerge une économie nouvelle, portée par de nouveaux équilibres, de nouvelles technologies, il est essentiel qu’elle prenne part à ce nouvel élan.

Immatériel, késako ?

Qu’entend on vraiment par « immatériel » ? On pense d’emblée aux droits de propriété intellectuelle. Mais le capital immatériel c’est aussi le capital humain, technologique et numérique, la marque et la réputation, la recherche et développement, les process organisationnels… Cette ressource généralement invisible, mais pourtant omniprésente est une source essentielle de création de valeur. C’est en tout cas ce que révèlent les travaux de recherche les plus récents : la valeur des entreprises et des systèmes économiques se crée pour l’essentiel à partir d’actifs immatériels. Ces derniers varient en fonction des ressources territoriales qui ont chacune une spécificité propre.

Un partenariat pour une meilleure compréhension

Le partenariat avec Banque Populaire s’inscrit dans le cadre des travaux de la Chaire pour comprendre et analyser le système global d’innovation au sein des régions. L’idée est de détecter les capacités d’apprentissage entre territoires, de mettre en avant les leviers pertinents de réussite et de les formaliser par la création d’un indice d’innovation territoriale. Un benchmarking intelligent est à organiser au service du développement de tous les territoires.

La publication de ce baromètre est en ligne avec le projet et les finalités de Banque Populaire : être un acteur pionnier et facilitateur du développement des territoires, en particulier en matière d’innovation.

La Chaire de l’immatériel est implantée sur le plateau de Saclay et portée par l’université de Paris Sud (2e université française et la 10e au niveau européen selon les classements internationaux).
La recherche à Paris-Sud, c’est 2 500 enseignants-chercheurs et chercheurs au sein de 78 laboratoires, 31 000 étudiants, plus de 5 300 publications internationales par an et de nombreux partenariats avec les plus grands organismes de recherche nationaux tels que le CNRS, l’Inserm, le CEA, l’INRA et l’INRIA.